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Meghan Markle - En 2015, la Duchesse de Sussex a délivré un discours saisissant lors de la "Women Conference" des Nations unies: "Je suis fière d'être une femme et d'être féministe". Elle a aussi expliqué qu'à 11 ans, une publicité de Procter & Gamble l'avait choquée.

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Meghan Markle - Il s'agissait d'une affiche montrant une femme faisant la vaisselle avec le slogan suivant: "Partout en Amérique, des femmes luttent contre des pots et des casseroles grasses."

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Meghan Markle - Elle a donc écrit une lettre à des femmes influentes de l'époque: Hillary Clinton, l'avocate des droits civils Gloria Allred et la journaliste Linda Ellerbee. Un mois plus tard, la campagne change de slogan pour "Partout en Amérique, des gens luttent contre des pots et des casseroles grasses."

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Meghan Markle -

Même si son entrée dans la maison royale britannique lui imposait d'éviter toute vague en politique, il n'en n'est pas moins qu'elle a continué d'avoir des discours aux accents féministes. La lutte pour les droits des femmes est un sujet qui lui tient à cœur, la preuve encore avec ce discours lors de sa visite officielle en Nouvelle-Zélande. 

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Prince Harry - Prince Harry, féministe? D'après son épouse, Meghan Markle, la réponse est: oui! En effet, dans une interview, la Duchesse a affirmé par la suivante: "He's a feminist too", soit "Il est aussi féministe".

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Prince Harry - Le Prince a aussi tenu des discours encourageant les hommes à s'engager dans le soutien aux femmes, notamment avec son discours lors de sa visite au Népal: "Je n'ai que rarement parlé des défis que doivent relever les petites filles, mais je pense qu'il est important de rappeler quelque chose qui est devenu évident à mes yeux : il y a bien trop d'obstacles entre les jeunes filles et les opportunités qu'elles méritent."

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Prince Harry - Lors d'une visite à Brixton, il a fait une déclaration on en peut plus claire en parlant d’égalité des s e x e s: "As males we have to do our part or it's not going to work" , soit "En tant qu'hommes, nous devons faire notre part, autrement ça ne fonctionnera pas". 

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Meghan Markle et le prince Harry -

Lors d'une rencontre entre Meghan Markle et l'auteure et militante féministe légendaire Gloria Steinem en août 2020, les deux Ducs de Sussex ont encore une fois fait preuve de leur engagement dans la lutte de l'égalité des s e x e s. 

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Meghan Markle et le prince Harry -

Comme le relate Madame Figaro, juste avant de commencer l'entrevue et alors qu'il accompagnait Meghan Markle chez Gloria Steinem, le prince Harry disait à cette dernière: "Vous savez que je suis féministe, Gloria, n'est ce pas ? C'est très important pour moi que vous le sachiez."

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Cheikha Moza - Bien qu'elle soit la 2e épouse de l'ex-émir du Quatar, elle a néanmoins des positions très claires sur la place de la femme arabe au Moyen-Orient.

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Cheikha Moza - Cheikha Moza est souvent décrite comme une des icônes du "féminisme islamique", non seulement par son travail, mais aussi par ses déclarations. Elle a une position sur le féminisme qui bouscule les codes traditionnels, bien que de nombreuses critiques dénoncent qu'elle s'en accommode et s'y complaît même.

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Cheikha Moza - Elle délivrait ce discours en 2007, à l'Université Rice de Houston (Texas): "Comment peut-on sincèrement parler de la participation politique des femmes au Moyen-Orient, où elles sont devenues un produit cyniquement utilisé pour servir de caution à des régimes dans lesquels elles n'ont aucun pouvoir réel?"

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Cheikha Moza - Elle qualifie le féminisme de "colonial" quand il essaye d'imposer des valeurs laïques aux femmes arabes, issues d'une culture différente. Elle dit: "Il n'y a rien dans notre religion qui interdise la participation des femmes à la vie publique. Elles en sont exclues pour les mêmes raisons que les hommes : le manque de démocratie".

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Cheikha Moza - Si beaucoup sont sceptiques sur son combat pour le droit des femmes, sa position a le mérite de nous interroger sur la manière dont le féminisme peut se décliner dans des cultures différentes. Après tout, la libération de la femme doit-elle vraiment se définir en fonction de la religion? La question mérite d'être posée.

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Princesse Diana -

La vie entière de Lady Di nous indique à quel point la Princesse était un esprit libre n'hésitant pas à casser les codes patriarcales de la monarchie britannique, en se positionnant comme étant une femme forte et indépendante. Sa déclaration: "À partir de maintenant, je vais me posséder et être fidèle à moi-même", n'en est qu'un exemple.

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Princesse Diana - Loin de causes "glamourisées" à coup de galas chics et luxueux, Diana est la première tête couronnée a s'être associée au mouvement de lutte contre le VIH/SIDA et la première personnalité à avoir été photographiée tenant la main d'un malade du SIDA.

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Princesse Diana - Sa manie de transgresser les règles n'a fait que renforcer son image de femme indépendante, comme toucher le peuple et s'agenouiller pour être au niveau des enfants ou des personnes en chaise roulante.

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Princesse Diana - Son mariage malheureux et les infidélités répétées du Prince de Galles, ont certainement poussé Lady Di a faire de même. Hé oui, elle a aussi aimé en dehors du mariage, peut on donc parler d'égalité des s e x e s? De plus, son divorce avec le prince Charles en 1997 a encore plus figé son statut de femme libre. Ce qui est certain, c'est qu'elle continue de forcer l'admiration aujourd'hui.

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Princesse Ameerah - Le contexte familial de la princesse saoudienne est déjà particulier et inhabituel pour les coutumes de son pays d'origine. Née d'un monarque Al Saoud, sa mère divorcera et l’élèvera seule. Son premier geste fort? Apparaître à la télé sans son hijab, pourtant de rigueur en Arabie Saoudite dès qu'une jeune fille est pubère.

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Princesse Ameerah - Elle se mariera ensuite avec un puissant homme d'affaires, le prince saoudien Al-Walid ben Talal dont elle divorcera, par la suite, en bons termes. Elle fait également trembler la monarchie saoudienne qui la considère comme étant beaucoup trop audacieuse. Elle n'a cependant que faire des injonctions, puisqu'elle continue de promouvoir la lutte pour les droits des femmes.

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Princesse Ameerah - En effet, elle se montre fervente défenseure du droit des femmes de conduire, d'hériter à part égale aux hommes et aussi de pouvoir obtenir la garde des enfants lorsqu'elles divorcent. Bref, la princesse Ameerah n'est plus à présenter car elle est indéniablement une philanthrope reconnue et une voix audible pour le droit des femmes du Moyen-Orient.

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Rania de Jordanie - La reine Rania est sans nul doute une des monarques les plus remarquées et appréciées du monde. Elle est très active sur le plan humanitaire, mais pas que, elle milite aussi pour la liberté et le droit des femmes.

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Rania de Jordanie - En effet, elle n'hésite pas à mettre en valeur la participation de la femme arabe dans les sociétés du Moyen-Orient. C'est ce qu'elle a fait lors d'un événement des Nations unies pour les femmes, en mettant en avant la plateforme jordanienne "SitatByoot", qui permet aux femmes de chercher du télé-travail en promouvant leurs compétences.

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Rania de Jordanie - Même si c'est avec humilité qu'elle reconnaît que des militantes arabes sont plus vocales concernant les droits des femmes, elle n'hésite cependant pas à déboulonner les stéréotypes de la femme arabe et musulmane.

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Rania de Jordanie - Elle dit d'ailleurs: "Il y a des négociations difficiles entre modernisation et tradition, développement et conservatisme. Cela peut paraître surprenant, mais en Jordanie, nous avons des femmes juges, pilotes, ambassadeurs, ministres et parlementaires."

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Hamengkubuwono X -

Le sultan de Yogyakarta, une ville qui se situe sur l'île de Java en Indonésie, est un homme aux idées révolutionnaires!

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Hamengkubuwono X - En effet, il rompt d'abord avec la tradition quand il décide de mettre fin à la polygamie et au concubinage. C'est donc ainsi qu'il est marié à son unique femme, Ratu Hemas.

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Hamengkubuwono X - Mais le sultan ne s'arrête pas là dans ses idées révolutionnaires, il serait également un féministe visionnaire!

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Une femme comme souveraine? -

En effet, il est dit que le sultan a enclenché des démarches pour nommer sa fille aînée, la princesse Mangkubumi (tout à gauche) à gouverner après lui. Il s'agit là d'une idée qui créé des divisions au sein de la monarchie javanaise, surtout auprès des frères et sœurs du sultan.

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L'impératrice Nur Jahan -

L'impératrice Nur Jahan est présentée comme la personnalité la plus influente de son temps sur l'Empire moghol, la famille dynastique la plus puissante qui régna en partie sur l'actuelle Inde et Pakistan. Pour beaucoup, l'Impératrice est devenue une icône féministe à cause de la place de choix qu'elle avait dans l'espace public.

Son génie pour l'art et l'architecture a inspiré l'esthétisme du Taj Mahal. Son talent inné pour la chasse a permis de tuer un tigre mangeur d'Hommes qui faisait rage dans un village voisin. Enfin, même si elle était la 20e et dernière épouse de l'empereur Jahangir, elle a réussi à s'imposer et à forcer l'admiration de ses contemporains.

Parmi ses entreprises audacieuses pour l'époque, on peut citer le fait qu'elle a conçu les plans de nombreux bâtiments publics, son combat pour l'accès à certains services pour les femmes ou encore un acte héroïque très fort: guider l'armée qui a libéré son mari alors retenu en otage!

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